Combat d'arrière-garde



L’Alliance nationale pour le changement (ANC, opposition), a rappelé lundi que le 20 février prochain marquera la fin du quatrième mandat de Faure Gnassingbé.

‘La perspective d’une présidence prolongée est intolérable en ces temps de lumière, où le peuple réclame la démocratie et l’alternance au pouvoir’, a déclaré ce parti.

La formation ne veut pas entendra parler des prochaines élections sénatoriales et encore moins de la nouvelle Constitution qui introduit un régime parlementaire.

L’ANC exige une élection présidentielle au suffrage universel.

Les critiques de ce parti arrivent un peu tard. La Constitution a été promulguée il y a plusieurs mois déjà.

Le prochain président de la République – aux pouvoirs honorifiques – comme le président du Conseil seront désignés par les députés et les sénateurs.