
Face à la recrudescence du trafic de produits chimiques toxiques, le Togo renforce ses dispositifs de surveillance.
En collaboration avec le Centre régional des Nations Unies pour la paix et le désarmement en Afrique (UNREC), l’Autorité Nationale pour l’Interdiction des Armes Chimiques (ANIAC) organise une formation des acteurs publics chargés du contrôle.
Objectif : améliorer la détection aux frontières, coordonner l’action des services concernés et prévenir les risques sécuritaires liés à ces substances.
« Le trafic de produits chimiques est une menace grave pour la sécurité des États », a alerté le Col Koffi Akpamoura, président de l’ANIAC-Togo. L’UNREC s’est engagé à soutenir le pays dans la formation, la sensibilisation et la mise en place d’outils de surveillance.
Le défi est de taille : protéger la sécurité nationale tout en respectant les exigences du commerce international.
